• Vous souhaitez effectuer des micropaiements pour mettre la main sur des contenus numériques ludiques afin de customiser votre appareil mobile, mais vous n’avez pas envie d’utiliser votre carte bancaire pour les règlements. Ne vous en faites pas, il y a toujours une solution et celle que je vous propose, je l’utilise moi-même quand je dois acheter des produits multimédias sur le Net. Il s’agit du SMS + et je trouve que c’est un moyen de règlement vraiment pratique, notamment pour les produits à bas prix.

    D’ailleurs, avec les nouveaux jeux vidéo (j’en suis friande ;)) qui débarquent sur la Toile, je trouve cette méthode fort pratique. Bien entendu, il a fallu que je m’assure que mon compte chez mon opérateur mobile soit actif avant de commencer la procédure. Avec cette formule, j’ai simplement eu à me munir de mon smartphone pour faire un repérage sur le site marchand. Ensuite, une fois que j’ai choisi l’article en question, j’ai envoyé un message codé à son éditeur. Cela a fait office de validation et j’ai pu le télécharger.

    Il faut dire que j’ai souvent eu des retards dans les délais de paiement lorsque j’utilisais des méthodes de facturation traditionnelles, mais avec le micropaiement, c’est avec sérénité que j’effectue mes achats. Eh oui, le prélèvement se fait automatiquement sur ma facture mobile. En outre, via mon compte chez mon opérateur, j’ai pu suivre mes dépenses en accédant à mon relevé mensuel. Perso, je trouve que cette méthode de règlement optimise l’expérience client de par sa simplicité et je ne peux que la recommander.

    Le SMS+ est une méthode simple et adéquate pour les e-achats

    Faites des e-achats et réglez-les par micropaiement


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  • La Fevad (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) a fait une analyse des ventes sur Internet en France durant cette année 2017, notamment durant le 2e trimestre. Il en ressort que les dépenses en ligne des Français durant cette période ont atteint les 19,5 milliards d’euros, ce qui indique une hausse de 11 % comparée au premier trimestre de 2017. Pour ce qui est du panier moyen, il affiche une chute de 3 %, représentant 68 euros. Cependant, malgré cette baisse, la fréquence d’achat dans le commerce sur Internet grimpe et on note, entre autres, que les dépenses par acheteur sont de 664 euros durant le 2e trimestre.   

     

    Ventes sur Internet : bilan en France…

    Zoom sur les ventes en ligne en France


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  • La firme Comscore a mené une étude basée sur le m-commerce en France et son rapport indique que les mobinautes consacrent pas moins de 2 heures et 15 minutes à la navigation sur le Net quotidiennement. Pour ce faire, ils utilisent leur smartphone et ce temps de navigation, comparé à celui des utilisateurs mobile des autres pays, classe l’Hexagone au 4e rang.

    Il est à noter que Comscore a lancé un panel mobile sur ce territoire il y a peu, et en s’y référant, il en arrive à la conclusion que le mobile only n’a pas encore intégré les habitudes des cyberconsommateurs. Effectivement, lorsque l’on considère le taux représentant le nombre de Français qui se servent de leur smartphone pour se rendre en ligne, on s’aperçoit qu’il n’est que de 6 %. C’est assez surprenant, car en 2016, cet appareil était considéré comme étant le premier écran de connexion au Net.

    Comme le Web regorge désormais de sites de toutes sortes, ce serait facile de s’y rendre via le mobile, mais les chiffres indiquent que ce n’est pas la voie empruntée par les cybernautes. En effet, les plateformes en ligne, notamment les portails de vente sont visités à partir des desktops, hormis les messageries instantanées et les réseaux sociaux.

    Pour ce qui est des achats sur mobile, l’analyse montre qu’il n’y a que 17 % des cybernautes qui ont recours à cette pratique. Pourquoi un pourcentage si bas ? Eh bien, en faisant un sondage au niveau international, on s’aperçoit que les géants du Web, pour la plupart, ne sont pas français. Est-ce pour autant que le m-commerce n’a pas de potentiel pour grimper ? Loin de là ! En tout cas, Comscore est optimiste sur l’avenir de cette branche de l’e-commerce !

    France : zoom sur le commerce mobile…

    Commerce mobile : analyse des habitudes de consommation des Français


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  • LSA Étude a mené une enquête pour la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) et Mood Media afin de savoir quel impact la musique diffusée dans les points de vente pouvait avoir. Cette analyse vise à comprendre le comportement des clients ainsi que celui des salariés évoluant pendant un mois dans une ambiance musicale. Eh bien, le résultat est positif : presque tout le monde apprécie ce genre d’ambiance que ce soit lors des achats ou durant les heures de travail. 

    Il faut savoir que pour mener à bien ce sondage, 5 magasins qui n’avaient encore jamais diffusé de la musique se sont dévoués. Ainsi, pendant le temps de cette analyse, leurs clients comme leurs salariés ont eu droit à de la sonorisation. 8 sur 10 de ces employés ont trouvé que c’était fort agréable de travailler dans ces conditions et le verdict fut presque similaire du côté des consommateurs. Eh oui, 7 sur 10 d’entre eux ont aimé leur parcours d’achat qui était imprégné de musique.

    Ainsi, si l’on considère la mesure de la satisfaction et de la fidélisation client, on note qu’elle a grimpé de 16 points, car avant la sonorisation dans les magasins, elle était de 50 points seulement contre 66 à présent. Pour ce qui est de l’expérience client, la satisfaction est au rendez-vous, car 72 % des acheteurs sont prêts à revenir dans les magasins, alors qu’auparavant, ce chiffre n’atteignait que 51 %. D’un point de vue général, 70 % des clients estiment que la musique peut améliorer l’image d’une enseigne. Quant au fait de pouvoir se démarquer, 65 % des consommateurs pensent que des chansons dans les magasins peuvent contribuer à cet effet.

    Points de vente et musique : une affaire qui marche…

    L’impact de la musique sur l’expérience client

     

     


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  • L’intelligence artificielle n’en est qu’à ses débuts et beaucoup ne l’ont pas encore exploité. Toutefois, elle peut être une bonne alliée pour un commerce en ligne. On peut même présager qu’en 2021, elle fera grimper les chiffres d’affaires dans ce secteur. Pour info, lorsque l’on parle de cette technologie, on n’implique pas seulement les chatbots, mais il faut aller plus en profondeur.

    En effet, il y a la programmation informatique suivie de la puissance de calcul et des sources de données qui sont mises en avant. Certes, ce n’est pas une mince affaire à mettre en place notamment lorsqu’il est question de qualité ou même de quantité, mais c’est faisable.

    De ce fait, intégrer cette technologie dans l’e-commerce est un avantage parce qu’elle trie et catégorise les comportements des clients. Par conséquent, les e-commerçants ont beaucoup plus la possibilité de personnaliser l’expérience d’achat. Le procédé commence par une analyse de l’historique des ventes et du trafic vers le site utilisé par l’e-acheteur. Une fois cette étape franchie, des modèles de machine learning sont créés. Cela peut servir aux e-marchands, notamment pour prévoir si un achat sera conclu ou pas.

    Pour des firmes comme Salesforce Commerce Cloud, l’intelligence artificielle est un bon allié, car elle peut l’utiliser pour comprendre les attentes des consommateurs et ainsi y répondre en se basant sur les données recueillies. Grâce au temps que cette nouvelle technologie permet aux cyberconsommateurs de gagner, ces derniers seront en mesure de s’atteler à d’autres activités. Un constat général de l’intelligence artificielle dans l’e-commerce indique qu’il y a eu une conversion de 5 % grâce à son utilisation.

    Le commerce en ligne et l’Intelligence artificielle, une union qui marche…

    L’intelligence artificielle est un allié de taille pour l’e-commerce


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