Suite à des études sur les entreprises telles que Deloitte, Forrester, Merryll Lynch ainsi que Juniper Research, un aperçu des tendances numériques pour 2016 a été avancé. Ainsi, on comprend que la numérisation a impacté un fort taux de PIB (Produit Intérieur Brut), à savoir 77 %. D’autres chiffres du genre montrent que les technologies numériques sont en pleine croissance. La France quant à elle, se positionne en tête de liste. Dans le domaine de la mobilité, les wearables devices sont dominants et le prouvent à travers leurs fonctionnements dans des nouveautés. La réalité augmentée s’est également démarquée. 

Quelles seront les tendances numériques en 2016

On a tous, un jour ou l’autre, entendu parler de Nike. Eh bien figurez-vous que ça bouge du côté de cette marque de chaussures très connue ! En effet, voici qu’un premier responsable digital, Adam Sussman, vient d’être nommé. On peut dire que ce choix est très judicieux, car compte tenu de son expertise dans le domaine, il fera certainement avancer la machine. Ce n’est pas tout, car d’ici 2020, la firme compte atteindre un chiffre d’affaires de 50 milliards de dollars ! Il va sans dire qu’une partie des revenus sera attribuée au Web.  Le m-commerce aura un rôle crucial à jouer à l’avenir, afin de favoriser les rapports avec les clients.

Les projets d'avenir de Nike

En décidant d’effectuer des micropaiements, les cybernautes accèderont sans peine à des contenus numériques à télécharger. Pour ce faire, il faut impérativement avoir un compte chez un opérateur mobile. Ce faisant, l’achat de sonneries, logos et jeux, entre autres, sera facilité. Les diverses solutions de paiement du Net sont certes utiles, mais les plus sécurisées sont SMS+ et Internet+. Ceux qui les ont essayées en ont été satisfaits, notamment à cause de la sécurité qu’elles garantissent, puisque le prélèvement se fait du forfait mobile. En outre, la mobilité joue également un grand rôle, car les achats peuvent se faire à partir d’un smartphone, un ordinateur portable ou une tablette.

Procurez-vous des contenus numériques en faisant des micropaiements

Ça fait presqu’un mois que Too-short a lancé un service de vente en ligne. En effet, cet événement a eu lieu le 28 janvier dernier et cette plateforme d’économie collaborative permet désormais l’échange d’habits pour les enfants. Elle donne l’occasion aux parents de profiter de vêtements d’occasion.  Ainsi, voici une nouvelle recrue pour l’e-commerce. Stephane Wahlen, son fondateur, explique que le but de ce lancement est de répondre aux attentes de nombreuses personnes ayant des requêtes diverses, comme échanger des vêtements ou vendre sans pour autant avoir d’enfants. Cet entrepreneur est conscient qu’il a eBay ainsi que Le Bon Coin à dépasser. Sa stratégie sera d’apporter un contrôle qualité avancé. Conséquemment, les habits sont préparés, mis en ligne et livrés. Depuis que Too-short s’est transformé en e-shop, les échanges et les ventes sont prometteurs, et Stephane Wahlen caresse le projet de voir au moins 100,000 familles se convertir au troc d’ici la fin de 2016.

Too-short : un site de troc d’habits pour les enfants

Le beau nom d’Égérie vient sur les lèvres des amoureux du shopping, car c’est une nouvelle boutique en ligne qui vient de voir le jour. Pour se faire connaître, elle se fie à ses parents, Émilien Guillot et Antoine Hubert. Il faut dire que ces derniers ne lésinent pas sur les moyens pour faire connaître leur bébé. En effet, ils sont ravis de faire la pub de cette nouvelle marque de vêtements en ligne. Et dire qu’ils n’ont que 17 ans, c’est vraiment formidable d’avoir déjà une carrière dans la vente sur Internet à cet âge. Ainsi, Égérie abrite des vêtements, des coques de smartphones ainsi que d’autres produits à des coûts très attractifs. Plusieurs projets sont en cours et les deux entrepreneurs ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin.    

La nouvelle boutique en ligne Égérie

En tant que PME (petites et moyennes entreprises), avoir un commerce en ligne peut être une bonne occasion de faire des bénéfices. Google est d’ailleurs prêt à prodiguer de bons conseils aux e-commerçants à travers Marie Fenard, la Directrice commerciale PME de Google France. Pour rappel, en 2015, le commerce électronique a connu une belle croissance. Les ventes sur mobiles ont également constitué une belle part des marchés. Désormais, il y a plus de 182 000 sites de commerce en ligne en France et, pour ne pas être à la traine, il faudra dépasser les concurrents, personnaliser les campagnes ou encore utiliser les outils de Google, notamment AdWords, entre autres.

Les conseils de Google France aux PME sur l'e-commerce